Théorie et pratique de l’épluchothérapie

La méthode épluchothérapique s’oppose au behaviorisme. Elle ne cherche pas à comprendre la psyché à travers le comportement des individus mais bien à agir sur celle-ci par certains comportements. La méthode est donc inverse. Le comportement ne permet pas de comprendre l’individu mais parvient à le guérir.

L’épluchothérapie s’inscrit à la fois dans la psychologie de Jean Piaget (1896-1980) et de Donald Hebb(1904-1985). D’une part, elle se rapproche de la psychologie cognitive, en agissant sur la perception, l’attention, la mémoire et les activités intellectuelles. D’autre part, elle intègre l’étude du traitement de l’information.

Le processus est assez simple : par l’épluchage de fruits, légumes ou féculents, l’épluchothérapie permet, en augmentant l’activité pré et post-synaptique, d’améliorer l’efficacité des connexions neuronales. A ce stade, l’ensemble des réseaux de neurones tend à s’activer et à former, en quelques sortes, d’immenses groupes de travail. L’activation séquentielle de ces groupes élabore la pensée qui, de par une activité nouvelle, se trouve elle-même renouvelée.

Deux méthodes ont été développées pour commencer une épluchothérapie. Dans les cas les plus simples, le patient peut travailler seul chez lui. Il est alors le maître absolu du rythme de sa thérapie, ainsi que de l’intensité de ses séances. Mais dans les cas les plus complexes, le travail devra être divisé.

1. Le patient doit s’approprier les nouveaux éléments de sa thérapie (pré-séance du 1 août 2006, Roye, France)

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2. afin qu’il puisse participer en toute confiance à la seconde phase du traitement, la thérapie de groupe :

séance du 3 août 2006, Roye, France

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séance du 31 juillet 2006, Goyencourt, France

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